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lundi 4 février 2013

Il y a 79 ans : le soulèvement populaire du 6 février 1934

Le 6 février 1934, les français se massaient sur la place de la Concorde pour affronter les députés de l'Assemblée nationale et, comme aujourd'hui, le font ceux qui refusent que la plaie socialiste révolutionnaire ne ravage davantage notre Pays. 22 personnes furent tuées ce jour là, les forces de police ayant reçu l'ordre de tirer en rang serrés sur la population désarmée, poussant à la révolte les groupes patriotes et entraînant la chute du gouvernement Daladier et ses ministres crapuleux.

Voilà ce qu'écrivait Léon Daudet de l'Action Française sur la classe politique de l'époque coupée du pays réel :

"Par l'exercice prolongé de la peste démocratique jusqu'au 6 février 1934, la lie de la nation était remontée aux postes d'Etat.
 [...] une tourbe de 40.000 ignares ou chenapans prétendait tenir sous le joug une honnête nation de quarante millions d'habitants laborieux, courbés sous ce fétiche absurde et malfaisant : le suffrage universel.
22 martyrs de l'honneur national sont tombés, place de la Concorde, le 6 février, pour témoigner que la France ne veut plus de ça.
Il y avait 70.000 hommes désarmés et criant : "A bas les voleurs, à bas les pourris" sur la place de la Concorde, ce jour-là. La prochaine fois, il y en aurait 100.000, cette fois non désarmés".

Les échos de l'histoire nous reviennent en ces jours où les français ont décidé de s'exprimer par la rue, pacifiquement et dignement, en janvier à plus de 800.000 personnes au Champs de mars.

Le 6 février 1934 le ras le bol faisait descendre les gens dans la rue/6 février 2013 les français retrouvent la rue pour s'exprimer.

C'est sans doute ce qu'il y a de plus marquant en cette période de vote de l'inepte provocation de la loi sur le mariage pour tous.

Les français ont retrouvé la rue, se sont réappropriés le débat politique, l'activisme et l'action en plus de la volonté de résister. Ils retrouvent le plaisir et le courage de dire non et osent l'affirmer.
C'est très positif.

samedi 22 décembre 2012

les Camelots du Roi

Quelques images et propos pour rappeler l'engagement passé et actuel des Camelots du Roi

mardi 9 octobre 2012

MAURRAS et la Mosquée

Le 13 juillet 1926, Charles Mauras assistait à l'inauguration de la Grande Mosquée de Paris; voilà sa réflexion prémonitoire et frappante de vérité :
"Quelques rues du centre de Paris sont égayées par les très belles robes de nos visiteurs marocains. Il y en a de vertes, il y en a de toutes les nuances. Certains de ces majestueux enfants du désert apparaîtraient "vêtus de probité candide et de lin blanc" si leur visage basané et presque noir ne faisait songer au barbouillage infernal. Que leurs consciences soient couleur de robe ou couleur de peau, leurs costumes restent enviables ; le plus négligent des hommes serait capable des frais de toilette qui aboutiraient à ces magnifiques cappa magna, à ces manteaux brodés de lune et de soleil. Notre Garde républicaine elle-même, si bien casquée, guêtrée et culottée soit-elle, cède, il me semble, à la splendeur diaprée de nos hôtes orientaux. Toute cette couleur dûment reconnue, il n'est pas moins vrai que nous sommes probablement en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. II n'y a peut-être pas de réveil de l'Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l'on fait se trouve être aussi la plus vaine des choses. Mais, s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on en puisse douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l'Islam représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir.

On pouvait accorder à l'Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c'étaient choses lointaines, affaires d'Afrique ou d'Asie. Mais en France, chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu'un me disait hier :
- Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ?

J'aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J'entends, je lis telles déclarations sur l'égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager, trop loin d'ici, par des hauts-parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.
Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse
".
 
Ce texte édifiant porte les grandes lignes de ce que subit notre pays actuellement hébêté, sans repères solides qui ne permette de parer aux multiples attaques de son modèle de civilisation accumulé et perfectionné avec les siècles de sa glorieuse histoire.
 

vendredi 27 juillet 2012

Le monde veut un monde sans Dieu /the world wants a world without God


"Le monde veut un monde sans Dieu" nous rappelait Monseigneur Bernard FELLAY, supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X.
Finallement le monde vous veut d'une façon ou d'une autre comme vous n'êtes pas :  sans traditions, sans racines, sans patrie, sans terre, sans famille, sans travail, sans mémoire et bien entendu sans Dieu. Il vous veut libre d'être balloté et maléable, corvéable du cortex à merci.

La période de l'histoire où cela s'est produit était sous Mao et Lénine et leur suite. Aujourd'hui c'est plus ou moins la même chose en plus larvé, plus sournois, (mais flagrant si l'on est observateur) C'est le mondialisme.

Mais comme tout mouvement de balancier, celui-ci finit toujours par revenir dans la trogne de ceux qui, béatement, pousse le mécanisme.

Pour leur renvoyer le balancier il faut avoir les pieds bien solides et être bien arc-boutés face au vent.
Alors heureux ceux qui ont la chance de tenir à ce qu'ils ont inventorié d'eux-mêmes, leurs racines, leurs engagements et leur attachement dans cette vie à leur nation, leurs valeurs et leur famille.
Heureux ceux qui pourront avoir la force de résister.

Crédit photo : extrait du film de Jean Rollin le viol du vampire

English version
Some words about the current life in France :
"The World wants a world without God" remained us Bishop Bernard FELLAY, supérieur général of the Fraternité sacerdotale Saint Pie X.
Further more, the World wants, in a certain way, a world without you or in a way that you aren't : without traidtion, without your roots, without your mother land, without land, family, job,without memory and of course without yor god.He wants you without limits, without frontier, with a body and a lost soul, ready to be used again and again.
It happened once in the History Lenine, Mao and those who followed did that with success, even if today it is more secret and hidden : the result will be the same in fact, it is called in french "mondialism".
In History each time someone tried to move the pendullum in a way of destruction, it always went back in face, but in between it causes suffer, destructions and disorder.
But if we want to pull back the pendullum in their faces we have to be straight rooted, to keep feet deep in the ground and face the winds.
So lucky are those who have this deep engagement with their country, their family, their roots because we are facing dark periods and you will have to save your soul and your family and count on you only on you and you have to take time and think what they own to be spiritually protected their family and country.
Only those one could properly resist & survive.


"Hardis contre la clique sans Patrie et Sans Dieu"

C'est la drôle de guerre. Depuis le 6 mai 2012, le Front Populaire a pris le pouvoir, remplaçant un gouvrenement qui n'avait qu'une apparence de droite.
Nous sommes le seul Etat européen à avoir des députés communistes à l'Assemblée. La droite patriotique est réduite à la portion congrue...
Autant dire que nos chefs, gras debouts sur le tas de fumier français, ne claironnent pas trop haut dans quel état ils ont trouvé la France et dans quels états ils ont l'intention de la laisser.
Alors face à la chienlit générale, soyons "hardis contre la clique sans Patrie et sans Dieu" comme le chantaient les Vendéens et les Camelots du Roi.

English Version
In France we live a "phoney war". Since the socialist revolution elections took place this 6th of May 2012, the Popular Front  of François Hollande leads the country, taking over a false right precedent government.
We are the only european country to have communists deputies.
The patriotic party has only 2 deputies /577 in the Parliament.
That means that our chiefs, straight in their boots on the french dunghill, don't tell too laud in which situation the country was and in which dramatical situation they will left it.
So, to protest against this sovietic socialist state  we have to sing this traditional french catholic songs  we shall fight "straigth against the homelandless and godless mafia".